-
Parmi les moyens qu'il est possible de mettre en oeuvre pour diminuer les effets de serre, compenser les émanations de gaz carbonique tout en diminuant les dépenses d'énergie, il en est un, assez simple: végétaliser les façades et les toitures des maisons afin d'accroître la superficie des espaces verts.
On en reviendrait à ce qui se faisait couramment autrefois en France, permettre à des plantes grimpantes, lierres, vignes par exemple de recouvrir nos murs extérieurs mais encore davantage car les techniques de végétalisation se sont multipliées.
Il faudrait dans un même temps; multiplier les plantations sur balcons et terrasses et s'engager à recouvrir nos toits d'herbes résistantes au vent et à la sécheresse, ce qui est aisé à faire sur tous les immeubles dont le toit est plat mais sans doute possible également sur les toits pentus en utilisant des technologies appropriées.
Cette couverture végétale pourrait non seulement réoxygéner le milieu urbain mais également assurer un meilleur isolement thermique des maisons et par là même diminuer les dépenses d'énergie.
votre commentaire -
un truc que je ne comprends pas
quand les Chinois sont arrivés sur le marché du textile (puis sur les autres ! ) on a poussé des cris de panique comme si personne n'avait rien préparé vraiment pour s'adapter (sinon /recommencer à/ taxer les marchandises qui rentrent mais cela n'a qu'un temps) ceci alors qu'on le sait depuis longtemps...
c'est, pourtant, la conséquence bien normale de l'émergence de pays qui jusque là, étaient en retard sur le plan économique et qui d'un coup, se libèrent de divers carcans politiques et connaissent cette accélération de développement que permettent, notamment, les nouvelles technologies
maintenant, nous sommes confrontés à un réchauffement de la terre qui lui aussi s'accélère
nous n'avons pas seulement quelques degrés d'écart avec les normes saisonnières, mais certains médias constataient hier 10/20 degrés de plus que la norme ! un peu partout sur la planète (à vrai dire n'ont été cités surtout que l'Europe et l'Amérique du Nord)
et que fait-on ?
bon, le Conseil Européen propose de réduire plus rapidement les émanations de gaz à effet de serre ! mais enfin, nous n'avons pas suivi ce dont on avait déjà convenu
tout le monde est en retard en ce qui concerne le passage aux énergies dites "non polluantes"
et de toute manière, vu ce qui se passe aujourd'hui, tout cela reste insuffisant
il faudrait faire des campagnes au niveau local pour non seulement réduire les gaspillages de dépenses d'énergie mais aussi prévenir et surtout entraîner les populations à faire front aux catastrophes qui sont maintenant inéluctables
votre commentaire -
autoportrait de Dos Passos, peintre et écrivain américain (1896-1970)
http://www.histoire.fr/bleu/html/archivesduxxesiecle/archidospassos.htm
Manhattan Transfer de John Roderigo Dos Passos
Une relecture qui m'a enthousiasmée et je suis surprise en prenant conscience que le roman ne m'avait pas particulièrement marqué adolescente alors qu'il est tout simplement génial.. comme quoi ma sensibilité a bien changé... ceci sans que je puisse décider si c'est en mieux ou en pis, probablement les deux à la fois...
Peut-être ne l'avais-je même pas fini...
C'est l'inconvénient des ouvrages empruntés en bibliothèque, certains ne tolèrent pas une lecture monolithique, je veux dire en un trait. Ils se goûtent mieux par petits morceaux, pris dans l'ordre ou même au hasard comme c'est le cas de Manhattan Transfer qui est un vrai kaléïdoscope d'évènements miniatures pris dans la métamorphose d'une ville, New York.
Dos Pasos l'a écrit juste après la première guerre mondiale et il a été publié en 1925. le bouquin raconte le développement de Manhattan. Toute cette ville de New york dont l'effervescence et le gigantisme emportent sa population comme le ferait un fleuve en crue, et la soulèvent ou la noient. Les individus sont là comme des milliers de fourmis grouillantes, dont l'identité s'efface au profit de la collectivité; et l'on reste confondu devant le dépassement de l'homme par son oeuvre même.
C'est un fouillis ordonné de descriptions et de récits enchevêtrés où s'agitent des dizaines de personnages pris dans des histoires différentes mais qui ont pour point commun, une soif d'espoir inextinguible en un monde meilleur alors même qu'ils sont broyés par cette idéologie de la réussite qui les tient.
Toute une accélération des mutations, qui désempare les vieux et bouleverse la jeunesse.
"Le crépuscule de plomb pèse sur les membres secs d'un vieillard qui se dirige vers Broadway. quand il contourne l'étalage de Nedick, au coin de la rue, quelque chose se déclenche dans ses yeux. Poupée brisée parmi les rangées de poupées vernis, articulées, il se traîne, la tête basse, jusque dans la fournaise palpitante, jusque dans l'incandescence des chapelets de lettres lumineuses. "Je me rappelle quand tout cela était des prairies" gronde-t-il au petit garçon."
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>« Le port regorge de paquebots zébrés, pie, rayés comme des mouffettes. Les Narrows sont bourrés de lingots. On empile les pièces d'or jusqu'aux plafonds dans les sous-sols du Trésor. Les Dollars gémissent dans les antennes de radio. Tous les câbles émettent des dollars. »</o:p><o:p> </o:p>
votre commentaire -
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=46113.html
le site officiel http://www.tfmdistribution.com/thefountain/
le commentaire prétentieux de Première, que je viens de lire sur Allociné, exprime bien le fond du problème
Son allergie aux conventions et son ambition aveugle risquent de laisser une majorité du grand public sur le carreau... qui se privera d'une des oeuvres les plus fascinantes à avoir foulé les salles depuis très longtemps.
Fountain se veut hermétique au dit "grand public" et mélange les scènes prises dans trois espaces temporels différents passé, présent, futur, où le héros recherche la fameuse drogue de l'immortalité, ici tirée de l'Arbre de vie afin de sauver sa compagne , des clins d'oeil au spectateur lambda qui a un peu touché aux hallucinogènes, lu quelques textes taoïstes, kabbalistes et autres, pratiqué un peu de zazen ou de reiki etc
bien entendu, le salut est dans la mort qui permet la renaissance quoique je trouve que ce postulat de base de bien des religions, soit ici fort mal exprimé, tout simplement parce que le réalisateur veut balayer toute contradiction impie en restant dans un grand flou artistique qui permet de nombreuses interprétations de détail
mais rien de rien de nouveau
pour ma part, j'ai trouvé le film décevant, d'autant plus que j'avais beaucoup apprécié Requiem for a dream du même Darren Aronofsky
votre commentaire -
aujourd'hui, une fois n'est pas coutume j'ai troqué mon falsard pour une jupe noire que j'ai voulu égayer en la portant avec des collants que je n'ai presque jamais mis, rouges avec des motifs cashmeere brun, un côté un peu tissu d'ameublement mais j'adore, un problème néanmoins qui m'a rappelé pourquoi je ne m'en servais pas: ils tombent horriblement au bout d'une dizaine de minutes
l'inconvénient des collants made in England si attrayants, fort adaptés aux saisons froides du fait de leur texture mais très mal coupés au niveau de la taille
j'ai néanmoins persévéré toute la journée puisque je restais chez moi à classer des papiers et à rédiger du courrier, et pour stopper la chute, j'ai enfilé un second slip par dessus
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires