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    emprunté une anthologie de la littérature érotique, une somme compacte de quelques centaines de pages


    eh bien, je vous le dis tout net, le résultat eût été meilleur si l'on avait lâché une douzaine de gamins de 12 à 14 ans à la bibliothèque nationale en leur demandant de relever tout ce qui les faisait bander


     


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  • fait incroyablement chaud et doux

    hier, partie en t-shirt léger mais à manches longues, je l'ai regretté tout l'aprèm

    trop  chaud

    on a quand même passé l'équinoxe d'automne en septembre

    bon, normalement, cela devrait se renverser après la Toussaint, le 2 novembre

    le proverbe dit

    A la Toussaint

    Le froid revient 

    Et met l'hiver en train.

    ce n'est pas qu'on n'est pas bien comme ça mais le réchauffement m'inquiète

    peut-être une vieille culpabilité judéochrétienne qui me souffle que quand ça va bien, c'est là qu'il faut se méfier

    en attendant, le courrier international publie son supplément sur le thème du réchauffement de la terre


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  • Un autre film britannique, vu lundi juste après Un fils de l'homme, Severance.

    Même si nous passons de la sf à l'horreur (sans fantastique), les deux films entrent en résonnance, se ressemblent quelque part car ils procèdent tous deux de cette grosse trouille que nous avons d'un retour de flamme, de la guerre, des uniformes et des armes et de tous les excès sanglants qui les accompagnent.

    Ici, un groupe d'employés d'une sté productrice d'armements s'en va faire un break et s'exercer au paintball, tous frais payés par les boss, dans les forêts de l'est de l'Europe.
    Le lieu donne le ton, cet "Est" dont les voyageurs ne savent définir exactement la nationalité, roumain ? hongrois ? renvoie à un tas de connotations troubles, du mythe à la réalité, depuis les vampires de Transylvanie jusqu'aux guérillas et aux atrocités commises pendant la seconde guerre mondiale puis sous les sovièts.

    Nos employés, assez indifférents aux conséquences de ce travail qui leur assure leur pain quotidien et un peu plus, vont apprendre à leurs dépens les méfaits des armes.
    Histoire morale donc, après tout, puisque, isolés dans une cabane en pleine forêt, ils sont pris dans un genre de traquenard où ils sont les proies de gens qu'ils ne parviendront pas à identifier vraiment, anciens soldats, anciens tortionnaires, anciennes victimes. La tuerie éliminera des nigauds irresponsables et bien que l'on finisse par les prendre en sympathie, on ne les regrette pas vraiment.

    Des persos bien typés et différenciés, une histoire finalement crédible, de l'humour, du recul et même du sentiment qui dure, c'est un film bien fait, qui sait introduire des traits comiques juste au moment où cela pourrait devenir insoutenable et qui donne à penser quand même, notamment aux problèmes de responsabilité collective vis-à-vis des victimes de guerre.

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