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    http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=60207.html


    un film plein de délicatesse et d'un humour léger et bon enfant, de Night Shyamalan (qui tient un rôle dans son film)




     comme dans un conte de jeu vidéo, il joue avec un mythe -imaginaire- dont le héros, un toubib devenu concierge suite à un drame, va relever les indices comme autant de clefs qui permettront à une nymphe perdue dans un immeuble collectif, de rejoindre les siens malgré la méchante bête aux aguets




     avec pour morale de l'histoire, que chacun de nous, même le plus simplet, a un rôle à jouer


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    Les mathématiques ? rien de plus simple !


    Si vous faites sortir trois lions d'une cage où se trouvent deux lions, il suffira de faire entrer un lion pour que la cage soit vide !


    Chen Apan 0% de matière grise


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  • Etre née à Alger dans les années 50, c'est être née dans un mensonge aussi multiforme que totalitaire que l'on repérera ensuite dans chaque rouage social et politique, où que l'on soit, même les yeux cousus à petits points fermés.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>


    Entendre à la radio, un soir parmi d'autres identiques, qu'Alger fut tranquille toute la journée alors que l'on avait mitraillé plusieurs personnes dans la rue, et fait exploser des immeubles dans le quartier voisin, me fera douter à vie, de toute information distribuée par les médias.

    <o:p> </o:p>


    Dans mon monde, chacun est différent de ce que l'on croit. Chacun peut révéler des trésors de bonté comme de cruauté, la plus profonde intelligence comme la plus sombre bêtise. Il n'y a rien qui vienne vous indiquer tout ce que peut faire ou penser un individu donné sinon votre propre tête et l'on fait tout pour l'embrumer. Toutes les étiquettes sont truquées et ne servent que ceux qui les ont collées là. Et tout se complique quand on sait qu'en tout être humain règne un colleur d'étiquettes.




    Il n'y a rien de sûr, rien de déterminé. L'univers entier est en mouvement, entraînant avec lui, les vivants et les morts dans une histoire qui les dépasse mais dont chacun possède une télécommande au fonctionnement aléatoire mais irréversible. Attention de bien zapper, les mecs et tous en même temps, sans regarder le voisin, des fois qu'il se gourerait encore davantage que vous.




    Une grosse et grasse plaisanterie. Combien de chances sur des milliards qu'on se branche sur le même programme ? de la différence naît la division mais la différence est indispensable à l'existence




    Ou alors direct au nirvana, un grand bond juste avant le big bang, là où l'on se pétrifie dans l'éternité. Est-ce vraiment là la solution ?

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>


    Je me méfie des bons sentiments. De cette gentillesse affichée à coups de sourires au bébé.




    Du tout va bien entre gens bien, quel que soit le groupe envisagé qui se surprend lui-même par sa pensée droite, juste et policée.




    Je me méfie de ceux qui positivent, le sourire à pleines dents et l'œil compassionnel.




    La convivialité me demande trop d'efforts d'adaptation.




    Et les fleurs fraîchement coupées par les autres me font frissonner.




    Je préfère alors les cueillir moi-même ou tout au moins les acquérir de mon propre gré.




    Au moins, je sais leur avoir demandé pardon.

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    comme Büchner « Jetzt bin ich ruhig »


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    <?xml:namespace prefix = o /><o:p>ya juste l'affiche qui est mignonne, mais est-ce suffisant ?</o:p>


    pour faire plaisir aux gosses, on a regardé un film français: jeux d'enfants





    bon, ben, j'aime pas





    attention que je n'ai pas triché, j'ai regardé jusqu'au bout





    et ça me désespère





    j'y vois un blème profond  car après tout je suis une française en France





    donc ce n'est pas normal de détester à ce point les films français





    Je faisais pourtant un effort, j'avais tant envie de l'apprécier





    mais non, dès le début, j'étais hérissée, tout sonnait faux comme toujours au pays du réalisme et d'abord ce garçonnet que l'on a voulu con sous prétexte de le montrer intelligent, donc égoiste et borné, comme si c'était là une vérité que l'on assénait, que l'on vous montrait là le "véritable enfant sans fard" et son monde onirique en forme de dessin de maternelle c'est bien français, ça que de signaler au spectateur: "là où vous voyez les petits dessins colorés et l'enfant qui vole, c'est le monde du rêve, voyez-vous et là où on montre le papa qui crie et fait des grands gestes de marionnette, eh bien, là, c'est le monde de la dure réalité"






    de l'insipide et du prétentieux qui étale la navrante banalité d'un petit jouet trimballé pendant tout le film au rythme du cap-pas cap, assorti d'un humour noir laborieux mais insistant parce que l'humour noir, c'est la poésie, la révolution, poil au menton, si j'te rase, tu t'écrases... langue-de-bois-et-patatras...





    ce patchwork d'idées piquées un peu partout et mises bout à bout à la va-comme-jte-pousse, et qui a cru faire fort en donnant dans la tragédie grecque sur le ton de la comédie, non seulement m'a terriblement ennuyée mais encore rendue attristée

    pas étonnant que notre économie se casse la gueule quand l'imaginaire est aussi déplorable et fier de l'être <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p>ya juste l'affiche qui est mignonne, mais est-ce suffisant ?</o:p>

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    Mon homme ne voulait pas y aller, je l'y ai traîné de force et cela lui a plu.


    Miami vice est bien dynamique, pas de temps morts, un look réactualisé qui rend la fiction crédible tout en lui laissant son côté comics à deux balles avec de l'action, quelques coups bas, du sentiment et des bouts de baise multicolore qui vous rendent la mondialisation gourmande.


    Un bon moment de ciné.


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